Utiliser twitter pour laisser une trace pour les générations futures

3 August 2011

Utiliser twitter pour laisser une trace pour les générations futures

Les choses sont-elles faites toujours de la même manière ? Toutes les anciennes pratiques sont-elles mauvaises ? Doit-on les rejeter toutes ? Toutes une génération est-elle au courant de comment certaines choses se passaient ils ya des années ?

Les livres nous renseignent beaucoup sur comment les choses se passaient pendant  “le soleil” de nos parents, de nos grands-parents. Mais je trouve également nécessaire de regrouper les pratiques anciennes et nouvelles autour du même thème sur une même page au même moment par les personnes de continents différents, de pays différents et de familles différentes.  Cela pour amener une comparaison entre hier et aujourd’hui pour que nous, jeunes générations, à la lumière du passer, puissions bien construire le présent et le future.

Cet exemple pourra bien illustrer cette initiative :

Hier dans les familles au village, il y a beaucoup de greniers communs : le grenier de petit mil, de gros mil, de sorgo, de haricot, de poids de terre, d’arachide, de fonio… et chaque grenier était rempli de son contenu. Chaque famille mangeait à sa faim. On venait au secours du voisin ou du parent mal chanceux pour la récole et cela avant qu’il ne se rattrape l’hivernage suivant.   Avec tout ça, certain greniers conservaient leurs contenus pendant deux ou trois ans.

Mais aujourd’hui, la famine a frappé à la porte de beaucoup de famille dans beaucoup de villages. De nos jours, c’est rare de voir trois de ces greniers dans une famille, même s’il y en a, ce n’est pas rempli comme avant. On a toujours dit qu’il ne pleut pas, oui c’est vrai ! Mais est-ce que beaucoup de jeunes savent que les générations d’avant partaient au champ à l’aube et ne revient que le crépuscule contrairement au fait d’aller à dix et revenir à seize heures ? Est-ce que cela n’est-il pas une des raisons de la basse de taux de rendement des récoltes ?

Voici comment ma mère me réveillait quand le sommeil me retenait sur le canapé :

aaaaaaaaaaaah, tu es toujours couché alors que les autres sont au champ il y a longtemps ! Tu ne pourras plus jamais les rattraper sauf si eux aussi, ils dorment là-bas !” Et à mon père d’ajouter : “même l’administrateur qui vient au bureau en retard est un faux travailleur qui trompe son pays”

Je me levais online casino précipitamment, faire ma toiletter et me cacher à tout le monde pour aller au champ parce que voir un jeune dans le village à 7 heures était une honte contrairement à certains aujourd’hui qui partent à 10 heures au champ.

Cela est un exemple africain au village, mais la page est ouverte à toutes et à tous, dans tous les continents, tous les pays. Il s’agit, même une fois de passage, de laisser de s’exprimer avec l’idée du hashtag #denosjours comme ci-dessous.

Fasokan: #denosjours, la compréhension mutuelle devient problèmes entre beaucoup de conjoints

Fasokan La famille est entouré par les grands murs pour bloquer le secret familial en son sein. Tout se fait et se garde là-bas! #denosjours

Fasokan Les membres d”une même famille constituent une unité. Quand un a des problèmes, tout monde l”a et on les règle ensemble #denosjours

Fasokan La famille, c”est "tous pour un, un pour tous". Est-ce que c”est le cas ajourd”hui? #denosjours

Fasokan Où sont parties nos valeurs culturelles importantes, surtout le respect du au ainés #denosjours

Fasokan Joignez-vous à nous sur #denosjours pour sensibiliser la jeunes actuelle

Fasokan #denosjours, beaucoup de jeunes n”écoutent plus les conseils de leurs parents, ils écoutent seulement leur passion!

Fasokan l”argent, le matériel, l”individualisme ont gagné le terrain #denosjours

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